BALLADE A QUATRE |
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Les préparatifs
Préparer, c'est déjà partir... Cliquez sur la rubrique qui vous intéresse:
1. Le choix du moyen de locomotion (Mirou, le 05/11/06) Notre maison pour 3 ans vaut bien la peine qu'on lui consacre une page spéciale pour elle toute seule. Glissez la souris sur le menu "Avant le départ" puis sélectionnez "Le camping cam", ou cliquez ici.
2. Les formalités administratives
2 A. Les assurances (Mirou, le 06/12/06, MAJ le 28/06/07) Aaaah..., les assurances! En voilà bien un, de sujet énervant! Mais oh combien important... Quelles sont les assurances nécessaires, voire indispensables? Quelles sont celles qui sont moins importantes, voire inutiles? Les forums regorgent de "posts" qui traitent de ce sujet. Un résumé? Facile: il n'y a aucune bonne solution! Risque couvert, étendue géographique, étendue temporelle, nature des prestations, montant du dommage, et, bien sûr, coût de la prime, sont des termes qui ne font vraiment pas bon ménage! Et puis il y a les assurances pour nous en voyage (celles dont je vais parler ici), pour nous chez nous (en ce compris la couverture soins de santé par la mutuelle), pour le véhicule qui nous accompagne, pour ce qu'on laisse derrière soi en partant (la maison, les contrats vie, les assurances pension, etc...). En sachant que les polices qui couvrent des risques que "l'on laisse derrière soi" ne les couvrent peut-être pas vraiment si on est au fin fond de l'Afrique pour un certain temps... Pffff... Donc, partant du principe que tout est réglé pour les assurances préexistantes au voyage et qu'on est en ordre de mutuelle, de quoi a-t-on besoin? 1. D'une assurance/assistance "personne" avec, au moins, couverture des soins de santé à l'étranger et rapatriement (plus, peut-être, Responsabilité Civile et couverture "incapacité de travail" et "décès"), ainsi que 2. D'une assurance "véhicule", avec au moins, Responsabilité Civile. Il faudra aussi aborder le problème du carnet de passage en douanes. Je le ferai dans une autre rubrique. Ça n'a pas vraiment de lien avec les assurances, mais en parlant du véhicule, je ne peux que penser à cette autre formalité de m... (pardon)... à cette autre formalité plus que contraignante. Le point 2, c'est une chose. Mais le point 1, c'est primordial à mes yeux. Bien-sûr, certains me diront: "quel est l'intérêt de prendre ces assurances? Tu ne pars plus à l'aventure si tu protèges ainsi tes arrières. Ça coûte cher tout ça, est-ce que ça en vaut bien la peine?..." A ces remarques, je répondrai que, bien sûr, chacun est libre d'envisager son voyage comme il l'entend. En ce qui me concerne, je place la santé de ma famille à l'avant-plan, bien avant le reste du voyage. Certes, le fait d'être bien assurer n'empêche pas le pépin d'arriver, mais au moins, la prise en charge de ce pépin est plus aisée et les conséquences éventuelles, plus faciles à gérer financièrement. Dans cette optique, je vous livre ci-dessous un petit "copier/coller" d'une de mes interventions sur http://voyageforum.com : Salut à tous. Le 06/12/06, Saint Nicolas nous a apporté plein de cadeaux, mais pas la solution miracle. Je n'ai pas encore reçu les infos attendues de l'assureur, et nous n'avons pas encore arrêter de décision... Mais on a encore le temps! Après quelques mois cependant, les choses se précisent... Le 26/06/07, je rencontre une nouvelle fois mon ami Emile Boufflette, du bureau d'assurances Yves Péchard à Liège, notre courtier. Nous nous sommes vus quelques fois depuis 6 mois, pour plancher sur ce dossier "assurances". Et nous avons trouvé une solution qui me parait idéale. Avant de l'évoquer, j'ouvre une petite parenthèse: j'ai appris, en discutant avec Emile, que la fille d'Yves Péchard était partie avec son compagnon depuis quelques mois pour... un tour du monde! Je me suis bien sûr immédiatement procuré l'adresse du site internet de Nico et Bilou. Je vous invite à aller y jeter un coup d'oeil, ça vaut la peine. Revenons à nos moutons. En ce qui concerne l'assistance, nous avons opté pour le nouveau (?) produit que j'avais repéré précédemment, proposé par Mondial Assistance: World Gold Protection. Couverture sur le monde entier, frais médicaux à l'étranger et frais de rapatriement illimités, frais de suivi médical en Belgique (6 250 €), assurance capital accident de voyage (12500 €), etc. Le montant de la prime est de 300 € par an, couvrant l'ensemble de la famille pour une période maximale de 3 mois à l'étranger. En cas de séjour prolongé, à partir du 4e mois consécutif à l'étranger, on a la possibilité de verser une prime mensuelle de 38 €. Le contrat peut être renouvelé d'année en année. (Les détails de ce contrat ici). Le montant annuel sera donc pour nous de 642 €. Chose extrêmement importante: il n'est pas nécessaire de remettre un pied sur le territoire belge après 3 mois, ce qui est fréquemment stipulé dans d'autres contrats concurrents. En voilà un, de beau produit, non? Je ne suis malheureusement pas certain qu'il soit disponible sur le marché hors Belgique: à creuser pour les intéressés. Ce contrat d'assistance sera associé à un contrat "hospitalisation" en Belgique, établi chez Swiss Life, par l'intermédiaire de l'employeur de Jo, qui a accepté de maintenir notre famille dans son contrat "groupe". Jo prend effectivement une "pause carrière à temps complet" et fait donc toujours partie de la réserve de personnel de l'institution qui l'emploie actuellement. Elle retrouve d'ailleurs sa place à son retour, la durée de la pause carrière étant fixée de commun accord avec l'employeur (maximum 5 années sur l'ensemble de la carrière, durée légalement fixée en Belgique). A ce titre, elle continue à bénéficier de sa couverture sociale, donc de sa mutuelle. Lo et Lu sont bien sûr à sa charge. En ce qui me concerne, étant indépendant et arrêtant toute activité professionnelle pour partir, je ne bénéficie plus d'aucune couverture en matière de soins de santé (il est possible de cotiser pour une "assurance continuée", mais les primes sont élevées et la couverture reste celle d'un indépendant!) Sans revenu, je peux donc "glisser" en tant que personne à charge sur la mutuelle de Jo. Cette solution est envisageable parce que nous restons domiciliés en Belgique (et nous y repasserons d'ailleurs à l'une ou l'autre reprise durant notre périple). A la différence de Jo, à notre retour, je repars "à zéro" sur le plan professionnel. Mais ça, c'est une autre histoire. Et pour bien plus tard! En complément de ces contrats "assistance" et "hospitalisation", nous contractons une assurance individuelle (accident/décès), garantie non proposée dans le contrat World Gold Protection de Mondial Assistance, à la différence d'autres compagnies. En ce qui concerne la Responsabilité Civile du véhicule, nous faisons le choix de l'abstinence... Nous hésitions à prendre un contrat chez Alessie, en Hollande, comme je le signale ci-dessus. Finalement, nous optons pour la prise de contrats ponctuels aux frontières, couvrant un ou quelques pays limitrophes. Restent alors les contrats n'ayant pas de lien direct avec le voyage: suppression des polices RC de nos 2 voitures (pour rappel, ma C8 est toujours à vendre...), suppression de mes contrats "professionnels" ( RC médicale, assurance Groupe, Revenus Garantis) et adaptation des autres contrats ("solde restant dû" et "incendie" pour la maison, épargne). Cette adaptation est nécessaire: il convient d'informer les compagnies que l'on entame un voyage au long court, et de s'assurer que les risques initiaux sont toujours couverts dans ces conditions "nomades". Ce n'est pas toujours évident! Ben voilà... Tout compte fait, c'est pas si compliqué que ça, les assurances!!!
2 B . Le carnet de passage en douane (Mirou, le 18/08/07) Le carnet de passage en Douane (CPD) est le « passeport » du véhicule. Il s’agit d’un document douanier émis par un organisme officiel reconnu internationalement, le plus souvent un automobile club. En Belgique, le monopole ( ! ) de la délivrance du CPD revient au RACB (Royal Automobile Club Belgium), moyennant le dépôt d’une caution.
Ensuite, et c’est moins agréable, il faut verser une caution. Son montant varie selon les pays visités. Elle doit être versée en espèces, chèque certifié ou garantie bancaire. Pour la Belgique (cela varie pour d’autres pays, même limitrophes), elle est équivalente à 50 % de la valeur vénale actuelle du véhicule avec un minimum de 1 250 euros. Pour l'Iran et l'Afrique du Sud, 100 % de la valeur vénale actuelle du véhicule avec un minimum de 2 500 euros. Cette pratique est d’autant plus scandaleuse que, dans le cas d’une caution avec dépôt en espèces en de chèque, l’argent est encaissé. Et dans le cas d’une garantie bancaire, il est bloqué. Ne serait-ce pas une pratique usuraire soutenue par la loi ? La pratique de la caution en soi n’est pas scandaleuse à condition que les intérêts soient versés sur son propre compte. En cas de garantie bancaire, le document original sera également joint à la demande de CPD. Mais ce n’est pas tout ! Outre le retour obligatoire du véhicule en Belgique – et on a compris pourquoi !- le CPD n’est valide qu’un an. Il doit donc être renouveler chaque année, ce qui est vraiment aisé quand on est à l’autre bout du monde… Bien sûr, on peut se le faire envoyer… à nos frais ! Et enfin, pour couronner le tout, il faut l’acheter, ce fichu CPD: 220 euros par CPD + 15 euros de frais de port (éventuellement). Dans les 220 euros, sont compris les frais d’adhésion au RACB !!! C’est un comble, non ? Personnellement, je trouve ça choquant ! Le délai d’obtention est de 2 semaines. Ceci étant, la responsable au RACB est une dame charmante et très disponible. Ca, c’est le coté positif :-) En résumé, il est important de garder à l’esprit que si le carnet de passage en douane est exigé, il sera tamponné à la frontière, à l’entrée. Si on omet de le tamponner à la sortie, il est impératif de demander un cachet. En l’absence de celui-ci, il n’y aura pas de preuve officielle que le véhicule a quitté le territoire et au retour en Belgique, la récupération de la caution sera difficile. Dans ce cas précis, il faudra présenter le véhicule à un commissariat, afin de faire constater officiellement sa présence sur le sol national. L’idéal est de ne pas faire viser son CPD… Du moins, d’essayer…
2C. Les passeports et visas (Mirou, le 18/08/07) Les passeports sont demandés à l'Administration Communale. Le coût est actuellement de 70 euros par passeport. La durée de validité est portée à 5 années, sans autre possibilité. Les enfants ne peuvent plus figurer sur le passeport des parents, et doivent posséder leur propre passeport. S’en suit un sur-coût pour l’obtention, mais également pour les visas qu’il faudra obtenir pendant le voyage. Pas d’autre choix cependant. Devront être produits pour son obtention :
Le délai d’obtention est d’une à deux semaines Les visas seront demandés dans les ambassades des pays concernés au fur et à mesure de nos pérégrinations. Effectivement, la durée de validité habituelle des visas touristiques est de 3 mois et il est difficile dans ces conditions d’obtenir beaucoup de visas à l’avance. La liste des pays ou les visas sont exigés est disponible sur le site officiel du Service Public fédéral des Affaires étrangères, Commerce extérieur et Coopération au Développement.
2D. Le permis de conduire international (Mirou, le 18/08/07) Son obtention est une formalité peu contraignante et rapide. Comme quoi, il en est ! Hop, c’est fait ! C’est rare… Et ça mérite d’être souligné.
3. La santé (Mirou, le 09/01/07. MAJ 16/04/07) Vaccins, trousse de médicaments: que faire, que prendre? La majorité des sites de voyageurs comportent cette rubrique "santé". Nous avons pris, comme tout le monde, nos renseignements. Nous avions rendez-vous vendredi 29/12/06 avec le Professeur Van Gompel, chef des services médicaux de l'Institut de Médecine Tropicale à Anvers. Nous avons passé en revue les différents vaccins nécessaires, voire indispensables. Nous avons également parlé longuement de la malaria, de la diarrhée des voyageurs et des soins de la peau, des piqûres et des morsures. Nous avons établis une liste de médicaments pour composer notre "pharmacie" de voyage. Le site internet de l'ITG est magnifiquement bien fait. Je vous invite à le consulter. En fin de consult, le Professeur me signale qu'une antenne de son service médical est située à Liège, Institut Malvoz, quai du Barbou. Ce serait peut-être plus commode d'envisager les vaccinations (notamment contre la rage, le vaccin n'étant pas disponible dans le commerce mais devant être commandé directement à l'Institut Pasteur) à Liège, plutôt qu'à Anvers... Et alors, quel plaisir pour moi d'apprendre que le médecin responsable -son ancien élève- n'est autre que Xavier Lardinois, ancien compagnon de guindaille (avec qui j'ai partagé tant de... et tant de...enfin, tout ce qu'on partage en guindaille, quoi!) que je n'ai plus vu depuis des années. Hop! Coup de téléphone, souhait de bonne année, explication succincte du projet et rendez-vous fixé pour en discuter de manière plus approfondie. Les informations ci-dessous reprennent les principaux postes que nous envisageons. 3 A. Les vaccins (Mirou, le 09/01/07. MAJ 16/04/07) 49 injections à prévoir pour toute la famille, pour un coût total, accrochez vous, de 1742.56 euros. La médecine pour tous...
3 B. La malaria (Mirou, le 09/01/07. MAJ 16/04/07) La malaria est une maladie infectieuse causée par un parasite (Plasmodium), qui est transmis par la piqûre d'un moustique bien spécifique (anophèle). Il existe quatre espèces différentes de Plasmodium dont le Plasmodium falciparum qui est le plus dangereux et le plus répandu. La période d'incubation - le temps entre la piqûre et le début de la maladie - varie en moyenne entre 10 jours et 4 semaines (rarement plusieurs mois). Les symptômes classiques, tels que des accès de fièvre, sont au début facilement confondus avec un état grippal. A défaut de traitement correct, un tel accès peut avoir une issue fatale en quelques jours. Où la malaria est-elle présente ? La malaria ne se rencontre que dans les zones ou vivent les moustiques anophèles, à savoir les zones tropicales ainsi qu'un grand nombre de zones subtropicales. A partir de 1.500 à 2.000 m d'altitude, selon le climat et la température, la présence de moustiques anophèles est négligeable, voire inexistante. Le risque d'infection dans la plupart des grandes villes est minime ou nul, sauf en Afrique, où il est omniprésent. Un certain risque peut également subsister dans les banlieues des grandes villes en Asie (ex. en Inde). Dans bon nombre de régions, il varie selon les saisons. Comment peut-on prévenir la malaria ? L'importance capitale des mesures anti-moustiques. Le moustique anophèle n'est actif qu' entre le coucher du soleil et l'aube (attention, il est plutôt petit et ne fait pratiquement pas de bruit). Pour cela il est conseillé de porter le soir des vêtements clairs couvrant le plus possible les bras et les jambes. On applique sur les parties du corps découvertes une crème répulsive à base de DEET (20 à 50 %, pour les enfants et les femmes enceintes DEET 20-30 %) p.e. Tropenzorg, Moustimug, Z-stop, Anti-M, OTC-repellent et on répète l'application toutes les six heures (le produit n’est donc pas actif toute une nuit). Jusqu’à présent il n’existe pas encore d’études approfondies sur les répulsifs sans DEET ; Autan-Active et Mosiguard sont néanmoins de bons produits sans risque; d’autres alternatives ne sont pas recommandables en ce moment. Il faut dormir dans un endroit inaccessible aux moustiques (moustiquaires, diffuseur anti-moustique électrique ; l’air conditionné n’empêche pas toujours les moustiques de piquer) ou sous une moustiquaire imprégnée de perméthrine ou de deltaméthrine suspendue au-dessus du lit et dont les bords sont repliés sous le matelas. En observant correctement ces précautions le risque de malaria est réduit d'au moins 80 à 90 %. J'ai été contacté par Kristine sur le site Voyage Forum qui m'a fait part de son expérience personnelle. Elle a vécu en Afrique et propose, pour éviter de se faire piquer, 20 gouttes de teinture mère d'orthosiphon et 20 gouttes d'hélianthus une fois par jour, par voie orale. A essayer, certainement! On va tester ça avant le départ, dans notre bonne vielle campagne sprimontoise infestée de moustiques en été! La prise de médicaments préventifs. Aucun médicament préventif n'est efficace à 100%. De plus, les médicaments utilisés changent au cours des années. Avant toute prescription, il convient donc d’évaluer les effets secondaires potentiels et contre-indications de la chimioprophylaxie en fonction du risque d'acquisition de la malaria. Ce risque dépend du pays, mais aussi des régions visitées, de même que de la saison, de la durée du séjour et du type de voyage. Nous avons opté pour le Lariam, 1 comprimé par semaine à un jour fixe, pendant le souper. Il est réputé efficace à plus de 95%. Il sera administré à toute la famille. Malheureusement, les effets secondaires sont fréquents et assez lourds (vertiges, cauchemars, agitation, dépression, palpitations, céphalées, voire hallucinations ou crises d’épilepsie...). Un traitement d’essai sera envisagé un mois ou 2 avant le départ, pour évaluer notre tolérance. L’alternative par la Malarone ne peut être envisagée compte tenu de son prix excessivement élevé. Nous la conserverons comme traitement de réserve, en cas de crise (= traitement curatif). On peut également envisager une alternative curative par Coartem que l'on trouve exclusivement en Afrique pour 5000cfa m'assure Kristine. Restent la Doxycycline (à ne pas administrer aux enfants en dessous de 8 ans), la Nivaquine et la Paludrine... Traitements plus contraignants et moins efficaces (pour les 2 derniers). Allez, soyons positifs: ça va marcher avec le Lariam! Il existe manifestement des alternatives à ces traitements "classiques". Kristine m'a parlé d'un mélange d'huiles essentielles et de teintures mères élaborées dans une herboristerie de Paris, administré en gouttes à titre prophylactique. Je vais me renseigner. Cependant, étant donné qu'aucun médicament n'est suffisamment efficace pour prévenir la malaria, il est important en cas de fièvre de toujours penser à une malaria, même si la fièvre se présente dans les trois mois après le retour des tropiques. Une malaria reconnue à temps peut être traitée sans problèmes, et l’idée que la malaria est incurable est complètement fausse. 3 C. La trousse de médicaments (Mirou, le 18/08/07)Basée une nouvelle fois sur les données fournies par l’ITG, vous trouverez ci-dessous une liste des différents médicaments et matériels ayant trait à la santé que nous emporterons. Il y a pas mal de chose… Sûrement beaucoup trop ! Si j’avais été mécano, j’aurais probablement pris trop de vis, circlip et autres durites… Mais on ne se refait pas… Notre trousse de voyage contiendra donc, en vrac :
Impressionnant…
4. Le matériel emporté (Mirou, le 13/09/07) Outre le nécessaire de toilette et le linge, « quelques » autres choses doivent être emportées. Voici, en vrac, une liste non exhaustive :
La liste, déjà bien longue, n’est pas clôturée. D’autres objets viendront s’y ajouter avant le départ. La liste sera mise à jour si nous en avons le temps… (Ca commence à devenir juste, le temps !!!)
5. La fête de départ (Mirou, le 03/10/07) A l'occasion du départ, nos amis ont organisé une fête extraordinaire, chez nous, dans la maison presque vide. Chacun avait amené nourriture et boissonssss, mais également couchage et déguisementssss. Entre la grisaille du vendredi 21 septembre 2007 et la pluie du lundi 24, nous avons eu la chance de jouir d'un week end estival (vu le contexte, il n'en aurait pû être autrement!), qui nous a permis de nous retrouver, petits et grands, 36 heures durant avant d'être séparés pour les 26280 heures à venir. Un grand, très grand, moment... Beaucoup d'émotion, de joie, de larmes, de rires, de bières... Beaucoup de tout. Quel magnifique souvenir nous emportons avec nous. Merci, merci, merci à tous... Pour accéder au diaporama, cliquez ici.
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